La dyslexie

Il s’agit d’un trouble de lecture spécifique pouvant apparaitre chez l’enfant et même chez l’adolescent. La dyslexie se caractérise par une difficulté à apprendre à lire, une grande lenteur dans les activités de lecture et d’écriture, une fatigabilité, des problèmes à se situer dans le temps pour établir une chronologie ainsi que des difficultés d’organisation.

La dyscalculie

La dyscalculie concerne les enfants ayant un trouble électif en mathématiques à cause d’un dysfonctionnement dans le domaine de la logique et des opérations sur les nombres. Les enfants ayant ce trouble ont une énorme difficulté à apprendre les mathématiques.

Les symptômes sont souvent la complication à mémoriser et traiter des informations, les erreurs lors du dénombrement, la difficulté à écrire les chiffres ainsi que le problème à réaliser des calculs arithmétiques simples.

La dysgraphie

La dysgraphie est un trouble touchant le geste graphique et la forme d’écriture. À cause de ce trouble d’apprentissage, l’écriture de l’enfant est souvent trop lente, illisible ou même fatigante. En outre, elle requiert un énorme effort cognitif de la part de l’enfant. Ce dernier n’arrive pas à organiser et à coordonner son écriture. Ceci rend difficile la compréhension de l’écriture de l’étudiant. La dysgraphie a comme symptômes : des difficultés à se faire comprendre par écrit, de la lenteur à écrire et de la fatigue lors de l’écriture.

La dyspraxie

La dyspraxie est un dysfonctionnement psychomoteur pouvant entrainer un manque de coordination et d’adaptation des mouvements sur un acte donné. Les symptômes de la dyspraxie sont les difficultés à réaliser des gestes automatiques, la mauvaise coordination des mouvements ainsi que des problèmes en lecture, orthographe, mathématiques et géométrie.

Le TDA/H

Le TDA/H concerne le Trouble Déficitaire de l’Attention pouvant induire ou non une Hyperactivité. Ce trouble neurodéveloppemental peut se manifester par des comportements intenses et persistants d’impulsivité et d’hyperactivité. Le plus souvent, le TDA/H entraine chez l’enfant un manque d’attention aux détails dans ses travaux, une faible attention durant les activités cognitives, de grandes difficultés à organiser ses activités et la perte fréquente d’objets utiles pour ses activités.

Préparer vos documents

Les documents requis et les critères d’admission dans une université canadienne varient selon les établissements. En général, il faut avoir un diplôme d’études secondaires et avoir eu un bon parcours scolaire pour les intégrer. Vos relevés de notes ainsi que divers documents officiels peuvent de ce fait vous être demandés et nécessiter, par ailleurs, une traduction avant leur envoi. Certaines universités permettent aux étrangers de déposer leurs candidatures tout au long de l’année. Mais général, il faut déposer votre demande 12 ou 8 mois avant le début des cours.

Les autres prérequis

Les universités au Canada peuvent utiliser le français et l’anglais pour permettre aux candidats de s’inscrire dans leurs établissements. Les étudiants étrangers doivent par conséquent maitriser l’une de ces deux langues selon les exigences de l’établissement qu’ils ciblent. Néanmoins, dans le cas où vous ne seriez pas au niveau, vous aurez la possibilité de suivre des formations en vue d’améliorer vos compétences en anglais ou en français. De telles formations sont dispensées par les universités et les établissements privés. Si vous êtes admis, vous aurez besoin d’autres documents. Il y a par exemple le permis d’étude et le certificat d’acceptation du Québec qu’il faut avoir si vous souhaitez intégrer un établissement universitaire au Québec. Mais également, vous devez ne pas avoir de casier judiciaire et ne représenter aucune menace pour la sécurité du Canada.

Les procédures d’admission

Les procédures pour intégrer une université au Québec dépendent de chaque établissement. Certaines universités exigent que les demandes d’admission leur soient directement adressées. Pour d’autres établissements, les demandes sont à envoyer auprès d’un service centralisé. Vous devez par conséquent vous informer sur ce détail si vous souhaitez intégrer une université. D’ailleurs, pour augmenter vos chances d’étudier au Canada, il est recommandé de soumettre des demandes auprès de différentes universités.

L’école de commerce après le bac

Les bacheliers ou les titulaires d’un diplôme équivalent peuvent soumettre leur candidature aux concours d’entrée en école de commerce. Les admis devront poursuivre un cursus de 3 ans leur permettant d’obtenir leur licence. Mais ils peuvent éventuellement continuer jusqu’au master qui s’obtient en 5 ans.

Les types de concours d’entrée en école de commerce

Après le bac, les futurs étudiants devront choisir le type de concours auquel ils souhaitent participer. Il s’agit notamment des concours Atout +3, de l’Ecricome, de Sésame, de Link, de Team ou de Pass. Ils se choisissent en fonction de l’école que vous souhaitez intégrer. Si vous êtes passé par une classe préparatoire, vous avez le choix entre le concours BCE et l’Ecricome.

Astuces pour mieux réussir son concours

Une fois que vous avez sélectionné le type de concours que vous envisagez de passer, préparez les épreuves en prenant connaissance des épreuves à passer. Vous trouverez dans ce cadre, des exercices types au sein des écoles de commerce. Vous avez également la possibilité de visiter les sites web de certains établissements pour prendre connaissance des matières à réviser pour votre concours. Par ailleurs, révisez sans vous précipiter. Pour ce faire, commencez vos révisions à l’avance et pratiquez aussi souvent des exercices pour mieux vous préparer. L’essentiel est de ne pas de se forcer et de travailler à son rythme. Bien entendu, vous pouvez vous faire aider par des étudiants ou d’anciens étudiants en commerce afin de renforcer vos connaissances.