Passer par les investisseurs en fonds propres ou par les établissements bancaires

Les investisseurs en fonds propres peuvent être des personnes physiques ou morales qui vont acheter des parts au sein de votre société. Cependant, ils ne dégageront de profits qu’après quelques années. Il faut noter que ce type d’aide au financement n’est accessible qu’aux entreprises déjà lancées et ne peut se faire si vous êtes encore en statut d’autoentrepreneur. Cette solution présente de nombreux avantages comme le non-engagement de l’entrepreneur à rembourser les fonds injectés. Après quelques années, les investisseurs peuvent espérer bénéficier des dividendes et des revenus appropriés, mais si ce n’est pas le cas, vous n’êtes pas tenu de les rembourser. Par ailleurs, c’est un bon moyen d’augmenter votre capital et vos fonds propres pour développer vos activités. Si vous passez par une banque ou une institution de crédit, vous pouvez lancer un nouveau projet à monter ou développer l’existant. Cependant, il faudra présenter un business plan et un projet viable que la banque peut appuyer. Contrairement aux fonds propres, le coût associé à cette solution est beaucoup moins onéreux. Toutefois, vous devez rembourser l’appui comme un prêt avec des intérêts et dont l’échéance peut durer des années.

Le crowdfunding et les organismes publics

De nos jours, de nombreuses plateformes de crowdfunding existent et permettent d’appuyer et de financer le lancement de certains projets porteurs. Ces plateformes permettent de présenter un projet précis et de collecter des dons pour le lancer ou pour produire à grande échelle un produit via une entreprise. On peut aussi bénéficier de crédit à travers ces plateformes ou jouir d’investissement spécifique grâce à des particuliers. Mais ici aussi, il faut savoir convaincre que le projet est viable. Pour le financement à travers les organismes publics, on peut s’approcher de Pôle emploi ou de BPI France qui proposent ce type d’appui. Généralement, des subventions sont prévues, mais dont les conditions dépendent de chaque institution.

À quoi sert un audit ?

Un audit est souvent une initiative lancée par le dirigeant d’une entreprise s’il s’agit d’un audit interne, mais peut aussi s’agit d’une procédure demandée par l’État. Il permet d’identifier les problèmes financiers qui pourraient altérer la réalité sur l’aspect économique de l’entreprise. En d’autres termes, il permet de s’assurer qu’aucune fraude ou omission sur les finances de l’entreprise ne sont à signaler. De nombreux domaines sont en réalité concernés par l’audit. Il y a entre autres, la finance et la comptabilité, mais également d’autres secteurs tels que le management et les différents processus de gestion au sein de l’entreprise.

Les différents types d’audit

Pour s’assurer que l’audit ne soit teinté d’aucune subjectivité, une entreprise peut effectuer un audit externe. L’audit sera alors réalisé par un prestataire indépendant de l’entreprise, un auditeur indépendant ou une agence spécialisée. Lors d’un audit externe, ce n’est pas l’entreprise qui fixe les points à analyser. Ce type d’audit a une meilleure appréciation, mais une entreprise peut aussi bien réaliser un audit interne avec une vision tout aussi critique. Il existe également l’audit de tierce partie qui est demandé par une entité neutre. Il permet de s’assurer que l’entreprise respecte certaines normes en vigueur.

Qui réalise un audit ?

L’audit est réalisé par un auditeur pouvant travailler à son compte, appartenir à une entreprise ou une agence ou même, envoyé par l’État. Un auditeur est en général une personne ayant un diplôme dans le domaine financier. Il peut être un expert-comptable ou un commissaire aux comptes. Son travail consiste à effectuer plusieurs tâches telles que l’analyse de la santé financière d’une entreprise, l’évaluation des stocks, etc. Suite à ses études, il rédigera un rapport qui affirmera si la comptabilité d’une entreprise est en ordre. Il doit par ailleurs toujours être au courant des nouvelles législations en matière de fiscalité, de finance, de code comptable, etc.

A quoi vous devez faire attention

Les équipes au sein de votre entreprise, au lieu de collaborer en toute franchise, échanger et communiquer entre elles, se sont mises à se concurrencer les unes contre les autres. Le jeu semble être de voir qui sera la plus performante, qui arrivera en premier à boucler son dossier, quelle équipe est capable de surmonter ses problèmes pour atteindre ses objectifs, etc. Vous ne l’avez pas saisi depuis le début mais avec le temps, vous avez enfin compris à quel manège vos collaborateurs se livraient. Surtout, n’encouragez pas cette concurrence ! Cela ne fera qu’agrandir le fossé entre les services.

Réagissez !

N’attendez pas trop longtemps avant de réagir, la situation pourrait empirer. Puisque vous êtes le manager, informez vos collaborateurs que vous allez instaurer un temps d’échanges régulier entre toutes les équipes. Tenez compte des tâches et de la disponibilité de chacun et établissez un calendrier de rencontres entre les différents services durant lesquelles vous encouragerez chacun à s’exprimer librement. Une fois par semaine, tous les 10 ou 15 jours, à vous de voir mais il faut absolument que vous mettiez sur place une base pour établir et maintenir la communication au sein de votre société. Cette démarche devrait donner du fruit incessamment.

Attirer plus de clientèle

La prospection de nouveaux clients est une étape obligatoire pour espérer d’accroitre son chiffre d’affaires. Pour ce faire, il faut d’abord bien définir les cibles en deux catégories, avec le prospect chaud qui englobe les clients les plus difficiles à obtenir, mais qui garantissent par contre une vente à la clé, et le prospect froid qui ne possède pas de besoin particulier. Une fois terminé, il faut attirer le prospect par les techniques de message commercial comme le courrier ou le mailing. D’autres méthodes sont aussi à prendre en compte comme le démarchage téléphonique, les réseaux sociaux, la participation à des événements ou salons, et l’optimisation du site web.

Miser sur les débouchés à l’export

Un excellent moyen pour booster rapidement le chiffre d’affaires, les débouchés à l’export permettent de tirer le plus grand parti des accords commerciaux préférentiels, d’augmenter le nombre de clientèle et le nombre de fournisseurs. Ils offrent également à l’entreprise une opportunité de bénéficier des dispositifs fiscaux plus intéressants. Pour réussir cependant sur la vente en export, il ne faut pas se lancer à l’aveugle, il faut d’abord être plus armé et plus solide. Ce qui nécessite une analyse en profondeur des pratiques, de la concurrence et de la culture. Il faut aussi offrir des modalités de vente ouverte, augmenter les ventes et surtout trouver le financement nécessaire.

Rehausser l’image de l’entreprise

Dans un contexte de forte concurrence, il est important de se démarquer et de bien valoriser son image. Pour ce faire, il faut proposer les bons produits et les bons services, ceci aussi bien en termes de qualité qu’en termes de prix. Ce qui permet par la suite de générer une réputation positive et d’attirer plus de clientèle. On peut aussi développer l’image de son entreprise en créant une bonne culture d’entreprise et en améliorant la satisfaction client.

Redéfinir les méthodes de gestion

La gestion de l’entreprise est d’abord assurée par des personnels, qui doivent donc faire preuve de compétence, de performance et surtout de motivation. Les ressources humaines en tant que vecteur de réussite d’une entreprise, doivent donc être valorisées. Dans le cadre de la méthode de la gestion, il faut aussi tenir compte de la gestion comptable qui englobe valorisation des stocks et développement des charges à l’actif.